Note de l'éleveur : la faute aux hormones mises en ébullition par l'été indien, les jours qui raccourcissent, le départ des agneaux nés l'année précédente (qui collaient aux basques de leurs mères), la végétation particulièrement nutritive de fin d'été, et peut-être même l'influence des touristes estivaux qui badinent et libertinent en maillot de bain... (Note de l'éleveur bis : un bon bélier besogne une trentaine de brebis par saison... mais a besoin d'une année pour s'en remettre)
commentaires